Le figuier chez ma tante
"Ce poème commence en été. Les branches du figuier qui effleurent la terre m'avait invité à m'allonger dans son ombre. En elle je me réfugiais comme au creux d'un fleuve. Ma mère se fâchait, l'ombre du figuier est funeste disait-elle. Je n'en croyais rien, je savais bien comme leurs fruits luisaient mûrs et fendus offerts aux dents matinales. Là j'ai attendu toutes ces choses peuplant les rêves." Extrait Les lieux du feu, Eugenio de Andrade
Cet énorme figuier rentre tout de même très bien dans ton thème Nikit@